Ils étaient tellement perchés dans cette secte qu’ils se donnaient tous des noms d’étoiles. Beta Orionis, Gamma Pegasi … C’est d’un pratique quand toi t’oublies des noms comme Roger ou Madeleine !
Tout est parti d’une expérience intergalactique (lol) vécue par le Gourou Alpha Leonis il y a douze ans. Il rapporta qu’un soir il fit un rêve lucide se passant sur l’étoile dont il porte désormais le nom. Des ondes célestes l’auraient supplié de créer un peuple dont le but serait de repeupler la Terre. Car oui, apparemment la fin de notre civilisation aurait lieu sous le règne d’Alpha Leonis. C’est aussi con que ça en a l’air mais l’histoire a tout de même convaincu une quarantaine de personnes parties repeupler la Terre au fin fond d’une forêt des Andes. Au départ, le Gourou avait créé un truc bien pépouze dans les montagnes Alpines, mais au bout d’un mois sa secte au nom sublime des Étoiles de la Vie avait été repérée par les gardes forestiers. Deux jours de garde à vue avaient suffi à Antoine Mailleux (de son vrai nom) pour prendre la décision d'installer sa secte ailleurs. Et autant aller le plus loin possible, où le territoire est tellement grand qu’il faut deux jours de marche pour la trouver. Vous le sentez, mon sarcasme, non ? C’est mon rédacteur en chef qui a eu la charmante idée de m’infiltrer dans une secte pendant quelques semaines pour écrire un article choc. — T’es gentil Jean-Marc, mais je doute qu’ils aient le Wi-Fi là-bas. S’il m’arrive quoi que ce soit… — Mais je t’ai déjà dit que tu partirais avec Fabien. Il est d’accord pour jouer le garde du corps, et accessoirement prendre quelques photos. Le sujet revenait sur la table à chaque réunion hebdomadaire et dire non finissait par nuire à mon image. Fabien et moi avons donc passé une grosse journée à nous inventer une vie dans le détail pour ne prendre aucun risque au cas-où les Étoiles de la Vie se connectent de temps en temps au World Wide Web. Pour notre couverture, nos noms seront donc Aurore et Raphaël, nous nous sommes rencontrés dans un club de vacances, mariés depuis trois ans, nous n’en pouvons plus du métro-boulot-dodo, nous voulons donner du sens à notre vie, etc… Et c’est comme ça que l’on se retrouve à bivouaquer, en pleine forêt des Andes avec un guide péruvien. Une chance que Fabien-Raphaël parle espagnol parce savoir commander une bière ou demander où la plage se trouve n’est pas super utile dans ce contexte. Nous arrivons à l’entrée d’un village fait de huttes en terre. Accroupie dans un jardin de légumes, une femme nous voit et court vers la hutte centrale, immense, en criant « Majestééé ! » Nous sommes déjà morts de rire. Ça commence fort. Fabien fait une photo rapide avant que d’autres adeptes nous voient. Je ne compte qu’une quinzaine de huttes. Les étoiles n’ont pas l’air de se reproduire très vite… Un homme en toge bleue et un large groupe de personnes, probablement la totalité des adeptes, sortent de la hutte pour venir voir ce qui se passe. J’ai l’impression d’être une aventurière arrivant dans une tribu Amazonienne, sauf que le chef a la peau blanche et qu’il parle la même langue que moi. — Que nous vaut l’honneur, mes amis ? crie-il au loin, en s’avançant avec sa troupe. You speak english ? Nous remercions notre guide, qui repart aussi vite qu’il ne lui faut de temps pour faire un feu de camp. Je dis à Fabien tout bas que nous devons rentrer dans nos personnages illico-presto car le Gourou arrive maintenant vers nous. Je m’attendais à voir de longues barbes, des cheveux hirsutes, des visages pleins de boue, mais non. Les hommes et les femmes sont peignés, soignés, tous en toges beiges. J’imagine qu’il faut pouvoir distinguer sa Majesté facilement dans le groupe même si tout le monde ici sait qui il est. J’avais vu des photos de lui avant de partir, je savais à quoi il ressemblait, mais le voir en vrai après deux jours de marche dans la pampa, il faut bien avouer que ça fait son petit effet. Plutôt grand, cheveux bruns longs et raides attachés d’un simple élastique, des yeux plissés par le sourire ou la suspicion, qui sait. Il nous tend une main à Fabien et moi que l’on sert en bredouillant des « bonjour » comme s’il s’agissait d’un maître d’école. Le mec a beau être un bouffon, il faut lui reconnaître un certain charisme. — Vous êtes français ? Formidable ! s’écrie-t-il. Ils ne manquent pas de brosses à dents ici parce qu’il pourrait m’aveugler en souriant. — Racontez-moi tout ! Qu’est-ce qui vous amène ? Nous passons l’après-midi à leur (mentir) donner tous les détails répétés avant de partir, nous brodons même parfois ce que nous n’avions pas anticipé. Tout le monde nous écoute avec intérêt, c’est limite intimidant. ʺRaphaëlʺ s’emballe même en leur avouant qu’il a un appareil photo dans son sac. Je lui fais les gros yeux aussi discrètement qu’impossible. Alpha Leonis dit alors : — Tu sais, ici nous n’avons pas l’électricité, tu ne pourras le recharger que lorsque l’un de nous va en ville pour acheter des brosses à dents (il a dit « le nécessaire » en vrai). Je balaye la hutte du regard, où nous sommes tous assis à même le sol sur un tapis de feuillage tissé. Les femmes regardent toutes le Gourou – sa Majesté – avec amour, les hommes avec des yeux emplis de fierté. Comme nous leur apprenons notre intention de rester, ils nous attribuent des noms d’étoile (c’était bien la peine de prendre des faux noms). Fabien devient donc Beta Virginis et moi Gamma Virginis. Donc si je comprends bien le seul Alpha-quelque-chose ici c’est le chef, les hommes sont des Betas et les femmes des Gammas. Superbe imagination, je recommande. Je laisse donc Beta Virginis parler aux hommes pour discuter avec un groupe de Gammas qui préparent le dîner. Elles ont plein de questions à me poser à propos de la France, auxquelles je réponds en feignant mon désintérêt pour le pays à présent. — Pardon d’être technique mais…Comment ça se passe pour dormir, ce soir ? dis-je. Elles me proposent toutes de dormir dans leur hutte. Ce qui me va droit au cœur. J’aurais donc le choix, quand la soirée sera finie. — Et les repas, je vois qu’il y a plusieurs huttes mais que vous êtes tous ici, dans la plus grande, à discuter, travailler… Vous mangez toujours tous ensembles ? Gamma Ceti, une jolie jeune femme d’une vingtaine d’années, m’apprend que les autres huttes ne servent que pour dormir la nuit ou pour les apprentissages improvisés, qu’ils passent la majorité de leur temps dans la hutte centrale. Quand je leur demande qui est avec qui, où sont les couples, elles me répondent à l’unisson « Alpha est notre mari ». — Mais vous êtes arrivées seules ici ou accompagnées ? — La plupart d’entre nous étaient accompagnées, répond Gamma Ceti. — Et les hommes vous laissent vous marier avec Alpha ? Je veux dire… Ils vous laissent aller avec lui, la nuit ? Oui, je piétine le sol de mes gros sabots. Je veux savoir si le Gourou se les fait toutes et pourquoi les hommes laisseraient faire sans moufter. Elles ont un rire nerveux, timide, quand elles comprennent de quoi je parle. Une autre Gamma me répond : — C’est un honneur pour les hommes d’offrir leur compagne à sa Majesté. — Belle dévotion ! Je ne sais pas si Beta Virginis sera d’accord de me partager... Elles rient toutes aux éclats. Et puis, l’une d’elles dit « Oh tu verras, après le souper ». Il me tarde moyennement de finir le repas. Tout le monde se serre puis s’assoie sur le sol pour manger. C’est pratique finalement, mais ça veut surtout dire qu’en plus de dix ans personne ne s’est dit qu’il serait sympa de construire des tables et des chaises. Et puis la fin du repas à base de pommes de terre en sauce de pommes de terre est là. Fabien m’a rejoint et s’est assis à côté de moi. Alpha Leonis prend la parole. — Mes chers amis, aujourd’hui est un jour particulièrement spécial. Nous avons deux nouvelles personnes parmi nous et je souhaite les accueillir comme il se doit en leur offrant une grande séance d’apprentissage. Nous nous regardons avec Fabien, à la fois honorés, appréhensifs, curieux. Alpha Leonis demande à ce que deux Gammas le rejoignent sur la scène au centre de la pièce, au milieu des adeptes. — Chers nouveaux arrivés, vous n’êtes pas sans connaître le but de notre existence ici. Jusqu’à présent, nos efforts ont été vains. Mais nous gardons espoir, chaque jour, que les ondes célestes nous gâtent avec des enfants. Ah oui tiens, c’est vrai, il n’y a pas d’enfant ici. — Pour l’occasion, je vais faire la démonstration devant vous d’un apprentissage avec ces deux ravissantes étoiles Gamma Sagitarii et Gamma Cephei. Lorsque je vous ferai signe, vous pourrez tous faire un apprentissage à votre tour avec les personnes de votre choix. Nous nous regardons avec Fabien. Ils vont nous mettre dans le bain dès le premier jour ? Rite de passage ou astuce pour s’assurer de notre sincérité ? Quatre adeptes ont sorti des tambourins et des congas. Ils se mettent à jouer un rythme lent et tous se mettent à fredonner des « Om ». Je lance un regard à Fabien, aussi interloqué que moi. Là oui, ça fait vraiment secte. Tout ce petit monde a les yeux rivés tantôt sur la scène tantôt sur nous, pour voir nos réactions. Je me contente d’un sourire, sans doute crispé, et de garder les yeux sur le Gourou. Les deux Gammas lui tournent autour, remuant le buste dans un jeu de séduction évident, laissant entrevoir le manque de soutien-gorge sous leur toge. Elles dansent autour de lui. Il lève les yeux au ciel puis les bras. C’est alors que les deux Gammas attrapent la toge aux pieds du Gourou et la tirent vers le haut pour l’enlever complètement. Le Gourou se retrouve nu devant nous, comme ça, en moins d’une minute, avec un début d'érection. L’excitation se ressent dans la pièce. Les « Om » se font plus forts, le rythme des congas plus rapide. Fabien et moi hallucinons, en essayant de ne rien laisser transparaitre. — J’offre mon corps aux ondes célestes pour la procréation, dit-il. Et tout le monde dans la pièce répète la phrase. Je suis entre le fou-rire et – je dois bien l’avouer – une légère excitation. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit des gens nus dans ces conditions. Alpha Leonis se couche alors sur le dos. Les deux Gammas s’accroupissent de chaque côté de son abdomen. — Étoile Gamma Sagitarii, dit-il, aide le procréateur dans sa tâche. Il doit être prêt. Cette dernière prend alors le sexe du Gourou délicatement entre ses mains, se penche et le met en bouche. Le spectable est surréaliste. Les congas accélèrent. Elle le mange avec tellement d’envie et de dévotion qu’elle provoque un léger tiraillement dans mon bas-ventre. Per.son.ne autour ne réagit, même pas Fabien qui n’en loupe pas une miette. Une fois l’érection du Gourou bien raide, il demande aux deux jeunes femmes d'enlever leur toge. Ce qu’elles font sans broncher et elles se retrouvent nues elles aussi sur la scène. — Étoile Gamma Cephei, dit-il encore, aide le procréateur dans sa tâche, aide-le à fertiliser l’étoile Gamma Sagitarii. Comme si elles faisaient ça tous les jours, elles comprennent ce qu’Alpha Leonis veut dire par là. Gamma Sagitarii l’enjambe à l’envers, introduit le sexe de celui-ci en elle avant de remuer sur son corps dans un mouvement de hanches si lascif que j’en ai des bouffées de chaleur. Bordel! Gamma Cephei quant à elle vient carrément s’assoir sur le visage du Gourou, qui attrape ses cuisses et qui commence à la lécher. Les deux Gammas semblent fières de pouvoir donner du plaisir à leur Majesté. Elles ne retiennent d’ailleurs aucun gémissement. La salle fredonne toujours mais l’on commence à sentir la soif de sexe dans l’assistance. Le spectacle est incroyable, mais ce qu’il y a de plus incroyable c’est que mon corps semble apprécier cette bizarrerie. Je chuchote à Fabien « Le délire ! » et il répond « Il se fait bien plaisir, le salaud… ». Les minutes s’écoulent sous leurs gémissements. Et puis le Gourou décide de changer de position. En se relevant, la queue luisante, il lance un regard dans ma direction si ardent qu’il achève de mettre mon sexe en feu. Il se place alors dans notre direction, mets Gamma Sagitarri devant lui à quatre pattes et demande aux deux jeunes femmes, le regard plein de vices, de s’embrasser alors qu’il la pénètre par derrière. Elles s’embrassent à coups de langues obscènes, l’une se met même à peloter les seins de l’autre. Il les regarde avidement, la mâchoire crispée, le front plissé, alors qu’il s’agite dans le corps de Gamma Sagitarii. Et puis les yeux du Gourou se posent à nouveau sur moi. C'est un regard plein d'assurance et de défi qu'il me lance, pour me faire comprendre qu'il est le patron ici, qu’on lui obéit, que les femmes font tout ce qu’il désire, que ça pourrait être moi sur scène avec lui, s'il le désirait. — À vous maintenant, dit-il à l’audience, à vous de faire votre apprentissage. Nous nous regardons d’un seul coup avec Fabien. — On ne va quand même pas copuler avec les gens là ! dis-je à voix basse. On fait quoi ? Les congas se sont arrêtées, les « Om » aussi, les adeptes passent aux choses sérieuses. Ils sont déjà tous à poil et ont créé des petits groupes. Cinq d’entre eux s’avancent vers nous, chair fraiche oblige. Voyant notre désarroi depuis la scène, Alpha Leonis, toujours en plein effort, nous lance : — Comme je ne vous ai pas encore épousée Gamma Virginis, vous pouvez le faire avec votre mari actuel, exceptionnellement. Et merde. — C’est juste que, dit Fabien, le faire devant tout le monde, là… Est-ce que l’on peut faire ça dans une hutte plutôt ? — Soit. C’est peut-être beaucoup pour votre premier jour. Prenez la hutte de votre choix. Et alors que nous nous levons pour partir, il continue : — Approchez, Gamma Virginis. Je m’approche de la scène, à quelques centimètres des deux Gammas qui s’embrassent et qui se tripotent, à quelques centimètres du Gourou. Je constate alors qu’il l’encule. J’ai envie de lui dire que ça ne marchera jamais son histoire. Il plante son regard dans le mien et avec un petit sourire en coin, me dit : — Je penserais bien à vous ce soir... Et je souhaite que vous pensiez à moi. Et il se met à jouir en gueulant comme un animal, les yeux toujours fixés sur les miens, comme s’il jouissait pour moi. Je ne sais pas pourquoi son regard noir me fait tellement d'effet, mais je suis trempée. Fabien m’emmène à l’extérieur où il fait maintenant nuit noire. — Putain, c’était quoi ça ? dit-il. — Une partouze géante. Ils nous ont offert une partouze géante ! — Ce sont de grands malades. Mais j’ai une de ces triques ! — Euh… Ok ? — Si on doit rester ici des semaines, il est très probable que l’on baise en communauté comme tout le monde, alors appelons un chat un chat. Il a raison. Soit on arrête tout maintenant et on se casse en douce – ce qui est impossible sans guide – soit on rentre dans le jeu et on finira bien par se voir à poil. Je n’avais certainement pas signé pour ça mais je ne suis pas contre rajouter un peu de piment à cette longue mission. — T’as entendu qu’il veut se marier avec moi ? Il croit quoi, lui ! — Il a monté son truc juste pour se taper des meufs, en fait. — Je n'ai aucune envie de coucher avec lui ! — T’es sûre ? — Ok, ok… Tout ça m’a peut-être un peu chauffée, j’avoue. — On fait quoi ? Derrière nous, dans la hutte centrale, les gémissements des adeptes montent. On dirait vraiment des bêtes. Au milieu de cette forêt, c’est presque irréel. — Ils sont tous en train de copuler, dis-je. On peut faire ce qu’on veut au fond, ils ne se rendront compte de rien. Fabien ne m’a jamais attirée. Il est bel homme mais pas mon genre. Mais là, au milieu de nulle part, alors qu’il a une de ses triques et que je suis chauffée à blanc, je ne ferais pas la difficile. — Ethiquement parlant, dis-je, on est d’accord que ça le fait pas du tout là, entre collègues. — En même temps, si on veut que l’infiltration fonctionne… Il faut qu’il arrête d’avoir raison. — Ok, alors c’est juste pour faire redescendre la pression et pour que personne ne nous soupçonne, on est d’accord ? — Yes ma’am ! — Ça reste entre nous quand on rentre à Paris ? Promis ? — Forcément! — T’as des capotes ? — Je savais trop que ça tournerait cul à un moment donné cette mission, dit-il en en sortant une de sa poche. Je n’ai plus du tout envie d’arrêter ce train qui est déjà parti. — En même temps, pouffe-t-il, t’es ma femme. Alors techniquement on ne fait rien de mal. Et on remercie Jean-Marc ! Nous entrons dans une hutte, avec une bougie pour seule source de lumière. Je m’approche de lui et lui prend la capote des mains. — Laisse-moi faire. Il me regarde, étonné. — Je suis ta femme, alors techniquement… Il rit. Je descends son short à ses chevilles, je déchire l'emballage et vient dérouler le préservatif sur lui. — Une vraie pro ! — Chut. Je prends ses lèvres d’assaut. Il introduit sa langue chez moi. Nos bruits de bouche trahissent nos envies furieuses. Il me fait descendre à terre et j’enlève mon short et ma culotte en un seul geste. Il vient se coucher entre mes jambes et nos bouches se mêlent encore, ses mains sont dans mes cheveux, son sexe entre chez moi sans aucune résistance. — Oh wow ! lâche-t-il. T’es vraiment excitée de ouf. — Ta gueule Virginis, Contente-toi de faire ton boulot. Il remue dans mon corps, me fouillant au bon endroit. L’image du Gourou en pleine jouissance apparait soudain dans ma tête et l’excitation monte si vite que je sens déjà mon orgasme se pointer. — Tu m’en voudrais si je jouissais déjà ? dis-je. — Je suis si bon que ça ? Ok, fais-toi plaisir ma cocotte. — Ralentis, ralentis… Comme ça… Oh… Oh ! Mon orgasme ne part pas de loin, il était tout prêt mais il est divin. Je jouis en pensant au Gourou, en imaginant sa queue luisante en ce moment-même dans mon corps. Et Fabien, entendant mes cris, ne se retient pas plus longtemps et m’offre le son sur l’image. Il me donne tout ce qu’il a, des coups de reins appuyés pour sonner la fin. — Bonjour la délivrance, dis-je. Je crois qu’on en avait bien besoin nous deux ! C’est en reprenant notre souffle, mes jambes toujours écartées et relevées, que nous apercevons quatre adeptes et Alpha Leonis à la porte d’entrée, en train de nous regarder avec de larges sourires. à suivre... © Tous droits réservés - Charlie M.P. |