Elle allait passer dans dix minutes. C’est ce que son ex-épouse lui avait dit au téléphone à propos de la prof de soutien de leur fils.
Il soupira. — J’aimerais bien que tu te libères de temps en temps, Flo. que je ne sois pas encore tout seul à… Oui bah, je m’en charge oui… Comme d’habitude. À peine il raccrocha qu’il se lança vite dans un rangement rapide du salon. Il n’était pas vraiment en désordre mais il aimait que tout soit à sa place quand quelqu’un venait chez lui. Depuis son divorce, il avait retrouvé une organisation bien à lui. Son laisser-aller et sa façon d’accumuler les choses inutiles l’avaient toujours dérangé, lui qui aimait l’ordre et le minimalisme. Tout de même loin d’apprécier leur séparation, il y trouvait quelques avantages, bien que cette ensorceleuse exerçât toujours son pouvoir sur lui. Son salon était nickel lorsqu’elle sonna à la porte. Il ouvrit et une gueule d’ange lui sourit. Elle devait avoir vingt-cinq ans tout au plus, portait des lunettes rondes derrière lesquelles brillaient deux billes marrons qui le regardaient avec enthousiasme. — Bonjour ! Monsieur Guertin ? — Comme l’indique ma boite aux lettres. — Ahah ! Oui ! En riant de sa bêtise elle lui plut tout de suite. — Clémence. — Enchanté. — Je suis la prof de soutien que votre épouse a eue au téléphone ce matin. — Oui oui, j’avais compris. C’est mon ex-épouse que vous avez eue en fait. — Ah pardon ! J’avais cru… Elle enchaina tout de suite pour ne pas laisser place à l’embarras. — … J’offre des cours de maths et de… — Vous voulez peut-être rentrer maintenant, non ? — Oui, ce serait plus simple, vous avez raison. Il l’invita à s’asseoir à la table du salon. — Vous voulez boire quelque chose ? De l’eau ? Un jus d’orange ? Une bière ? — Un verre d’eau ce sera très bien, merci. — Du Wisky? — Ahah! Non, de l'eau c'est parfait ! Alors qu’elle lui expliquait le type de cours qu’elle pouvait donner à son fils il la regardait et se demandait…Rentre-t-elle souvent chez des hommes qui vivent seuls ? Plus elle parlait, plus elle lui plaisait. Étudiante en école de commerce, elle donnait des cours pour se payer des vacances d'été. Il suivait ses gestes gracieux lorsqu’elle remettait une mèche de cheveux rebelle en place et faisait valser le pendant à son oreille au passage. Elle portait une chemisette boutonnée jusqu’au cou. Il aimait bien ce côté pudique, rangée. Elle couvrait son corps mais il devinait un téton sous le fin tissu et ça lui suffit pour la trouver irrésistible. Elle avait l’habitude du regard des hommes. Suivant l’interlocuteur, ce regard la gênait ou la flattait. Elle le trouvait charmant alors elle lui pardonnait les quelques coups d’œil qui se voulaient discrets mais qui ne l’étaient pas du tout. Elle aurait pu jouer de tout ça pour lui faire signer un contrat plus important, mais elle n’en fit rien. Il se décida pour 2 cours de soutien par semaine et, alors qu’il signait son papier, il cherchait une façon de la retenir encore un peu. — Vous en aviez pris, vous, des cours de soutien ? demanda-t-il. — Je n’en n’ai jamais vraiment eu besoin. — Vous êtes sûre que vous ne voulez pas boire quelque chose de plus corsé ? Histoire de finaliser les choses dans la bonne humeur ? Elle jeta un œil à la montre sur son poignet pour ne pas paraitre trop intéressée en répondant oui tout de suite. — Je ne sais pas si je devrais… — Allez, il est 18h. Laissez-vous tenter. — D’accord, alors un petit verre seulement. — Un verre de ? — Whisky ? Elle lui faisait tellement plaisir... Il se dirigea vers le bar dans le coin du salon. Elle le regardait faire de loin. Elle eut tout le loisir de parcourir son corps des yeux. Comme tous les parents à qui elle rendait visite, il était bien plus âgé qu’elle. Mais elle aimait cette différence. Était-il divorcé depuis longtemps ? Avait-t-il eu des aventures depuis ? Plus les questions valsaient dans sa tête et plus son cœur pompait. Elle l’imaginait nu. Elle ne savait pas vraiment s’il lui plairait mais il y avait quelque chose chez lui qui l’attirait. Son assurance peut-être ? Il revint vers elle et le "petit verre" était finalement aussi généreux que le sien. — Houlà ! dit-elle en le voyant si plein. — C’est pour ne pas avoir à me relever. Elle sourit et frappa son verre contre le sien. — Santé alors ! Je ne vais pas le boire vite. — Ah mais nous avons tout notre temps… Elle sentit dans le ton employé une invitation à rester bien plus que pour un verre. Elle le porta à ses lèvres en le regardant droit dans les yeux et ne s’arrêta de boire que lorsqu’il fut vide. Il la regarda faire, troublé par ce revirement de situation. — Vous allez peut-être devoir vous relever finalement, dit-elle avec un grand sourire. Elle l’excitait tellement qu’il l’aurait prise sur le champ. Il se leva et la regarda remonter les yeux vers lui. Elle aurait voulu qu’il fasse le premier pas car son ventre se tordait de désir. Il attrapa le verre vide. — Le même ? — Allez ! Elle sentit qu’elle redressait son buste en lui répondant, comme un appel incontrôlable de son corps. Il perçut le mouvement, même infime. Il devinait son envie comme si elle l'avouait à voix haute. Il s’empressa d’aller la resservir. Il prit son temps pour reprendre ses esprits mais plus le temps passait plus la bosse dans son pantalon enflait. Il voulait la prendre sur la table, à l’endroit, à l’envers, à genoux, dans tous les sens. Il voulait la déglinguer cette ravissante petite étudiante. Il sentait les yeux sur lui depuis le bout du salon. Il y retourna tout de même, laissant le destin décider si oui ou non elle remarquerait l’effet qu’elle avait sur lui. Debout à côté d’elle, il posa doucement le verre sur la table. Elle tourna la tête vers lui, et vit. Ses yeux restèrent bloqués quelques secondes dessus. De longues secondes pendant lesquelles il sentit la tension monter d’un cran, l'envie irrépressible de toucher sa peau, d’entrer dans son corps. Elle leva les yeux vers lui en silence, comme pour vérifier dans les siens ce qu’elle savait déjà. Son regard affamé la contemplait. Son cœur battait si vite qu’elle dû prendre une grande inspiration. Et puis, brisant le silence, d'un ton sérieux, il finit par dire: — À genoux. Poussée par son désir, par l'inexplicable et irrésistible envie de lui obéir, de lui appartenir complètement, elle se mit à genoux devant lui. — Regarde-moi. Elle leva la tête. — Prends-le dans ta bouche. Elle ne voulait pas qu’il la prenne pour une fille facile mais elle se voyait mal revenir en arrière après s'être conformée à ce premier ordre. Et puis... Elle était bien trop curieuse et enflammée de toute façon pour lui dire non. Elle défit sa ceinture, le déboutonna puis fit descendre son pantalon au sol. La vue de son sexe tendu dans son boxer l’excita tellement qu’elle le retira d’un seul coup et n’eut même pas le temps de regarder à quoi il ressemblait avant de l'enfoncer entre ses lèvres. — Ah putain… soupira-t-il. Elle se mit à aller et venir sur lui, avidement. Elle aurait pu mettre ça sur le dos de l’alcool mais il n’était pas encore dans son sang. Elle le laissant glisser sur sa langue presque amoureusement, le caressant en même temps de ses mains suppliantes. Elle voulait qu'il prenne un maximum de plaisir entre ses lèvres et il en prenait. Si bien qu’il se demanda s’il allait tenir assez longtemps pour profiter pleinement. Elle était là à ses pieds, à le manger comme si c’était la fin d'une longue grève de la faim. Il retira les lunettes de la jeune femme, les posa sur la table, prit son visage entre ses mains et elle leva les yeux jusqu'à lui. Il aurait pu venir rien qu’avec cette image. — Je vais te baiser la gorge si fort… Et juste comme ça, d’un battement de cils, elle lui donna l’autorisation. Il était fou. Il prit sa tête plus fermement et alla buter tout au fond. Elle eut un réflexe mais ne protesta pas, le regardant pleine d’envies, avec l’eau qui lui montait machinalement aux yeux. Il buta une deuxième, puis une troisième fois. À chaque fois, elle avait l’air surprise par la sensation. — Tu vas me faire venir à me regarder comme ça… Il y retourna une dizaine de fois, lui arrachant de douces plaintes. Sa façon de la regarder, ce regard à la fois noir et perdu l'excitait tellement qu’elle se sentait couler. Elle le voulait maintenant en elle, tout au fond de son ventre. Lui, il finirait bien là, au fond de sa jolie bouche mais il avait trop envie de la goûter différemment. Alors il lui ordonna de le suivre vers le canapé. Il s’assit et, avant qu’elle n’ait le temps de s'asseoir à ses côtés, lui demanda de se déshabiller. En pleine lumière et la fenêtre ouverte sur la rue, elle hésita un instant. — Vite, sinon je le fais moi-même... Elle aimait sa façon de lui parler, l’idée qu’un père de famille bien sous tout rapport lui donne des ordres la mettait dans tous ses états. Elle défit les boutons de sa chemisette, tout doucement, un sourire aux lèvres. — Dépêche-toi. Elle prenait son temps. Elle dévoilait une brassière toute fine en coton, exactement ce qu’il imaginait sur elle. Il ne tenait plus, il voulait la posséder et elle jouait avec ses nerfs. Il se leva et lui attrapa le menton fermement. Là, le regard la surplombant, il laissa sa voix calme lui rappeler qui avait le contrôle. — J’ai dit vite. Elle leva les bras au dessus de sa tête pour qu’il finisse de la déshabiller lui-même. Il voulait tellement corriger cette petite effrontée qu’au lieu de l’aider il plongea sa main dans son pantalon, directement dans sa culotte. Elle ne put se retenir de gémir. Et c’est lui que le geste calma car ses doigts la trouvaient bien excitée. — Regarde ce que je fais, moi, aux rebelles. T’aimes ça ? Tu veux ma queue, hein ? — Oui, disait-elle entre deux respirations affamées. — Alors défais-moi tout ça et vite, cette fois. Elle fit sauter sa brassière, son pantalon, sa culotte en quelques gestes hâtifs, en aussi peu de temps qu’il lui fallut pour se rassoir. Les seins guillerets et la petite toison face à lui le rendirent encore plus impatient. — Viens là, dit-il en tapotant sur sa cuisse. Elle approcha de lui tel un félin. Il l’attrapa par les hanches, la retourna, la tira contre lui puis lui murmura à l’oreille, entre deux souffles haletants : — Est-ce que tu cries quand tu jouis ? Oh… J’espère que oui… Un grand miroir leur faisait face. Il la regardait dedans. Elle voyait son reflet, elle, assise sur cet homme dont elle venait tout juste de faire la connaissance. — Écarte les jambes. Elle n'osa pas. Il l’aida à surpasser sa pudeur en lui écartant les cuisses lui-même d’un mouvement de jambes. Là, offerte comme jamais dans ce reflet, elle se trouvait si perverse. — Touche-toi. Il y avait là quelque chose d’excitant à obéir sans réfléchir. Elle s’observait dans le miroir, se touchait les seins timidement. Il lui prit la main et y alla plus fermement, la faisant descendre entre ses cuisses. — Là… Comme ça… Il la souleva d’un coup et entra en elle, lui arrachant un cri. — Hmm… Alors c’est comme ça que tu couines ? Il remuait sous elle. Mettant sa main par-dessus la sienne entre ses cuisses pour la stimuler autrement. Ils se regardaient tous deux dans le miroir. Elle ne savait pas trop pourquoi mais le voir la contrôler l’excitait beaucoup, lui qui quelques minutes plus tôt paraissait si inoffensif. Il la pencha en avant. Il voulait se voir entrer et sortir de son corps de novice. Il claqua sa fesse. Elle se mit à remuer sur lui, de haut en bas puis en se frottant de long en large. Il aimait la voir faire tout le boulot, s’exciter sur sa queue, voir son cul se contracter à chaque passage. Ce petit bout de femme allait chercher son plaisir avec tellement de détermination qu’il l’aurait épousée sur le champ si elle lui demandait alors. Ses petits cris la rendaient encore plus bandante. Il sentait qu’il pouvait exploser à tout moment. Il attrapa ses cuisses et, toujours en elle, se coucha de tout son long sur le canapé. Au-dessus de lui, elle ne pesait presque rien. Il se remit à remuer plus fort. Il lui mordillait le cou, l’oreille, il aurait voulu la consommer complètement. Elle gémissait à chacun de ses coups de rein, comme un long remerciement frénétique. La porte d’entrée claqua. Les deux tournèrent la tête vers le miroir pour voir ce qui se passait. — Merde ! dit-il tout bas en s’arrêtant net. — T’es là ? demanda son ex-épouse qui n’avait encore rien remarqué. Clémence resta immobile, une main pudique entre les cuisses et un bras barrant sa poitrine, muette. — Reste où tu es Flo, dit-il. Ne bouge pas ! Elle arriva vers eux et ses sourcils montèrent bien haut sous la surprise. Clémence ferma fort les yeux comme pour disparaitre par magie, alors qu'elle accueillait toujours un sexe en elle. — Eh bah je vois que t’as pas besoin de moi, dit Florence. Tu te débrouilles très bien tout seul ! — C’est… Oui... C’est tout à fait ce que tu crois. — Ok, très bien ! Clémence, je ne pensais pas en faisant appel à vous que vous seriez si... Clémence prit une couleur pivoine. Elle se mordait la lèvre sans savoir quoi dire. — Il vous plait mon mec ? — Désolée… Je ne sais pas ce qui m’a pris, répondit Clémence. — On est divorcés, leur rappela-t-il. Florence tira une chaise pour s’asseoir à côté d’eux. — Montrez-moi comment vous vous y prenez tous les deux ! Elle n'avait pas l'air jalouse, plutôt amusée. — Tu déconnes là, Flo ? — Ah non non, continuez, faites comme si je n’étais pas là. L’idée lui semblait malsaine, mais voir son ex-épouse si intéressée lui donna envie de rentrer en un long coup de rein dans Clémence pour voir si elle était partante, et ce simple mouvement lui fit recouvrer la voix. — Hmm… Elle se dit que perdu pour perdu, autant qu’elle prenne son pied. Sentir ce regard extérieur n’était pas déplaisant en plus, au contraire. Il commença à la pilonner en lui maintenant les cuisses écartées. Clémence regardait Florence qui regardait Clémence. Lui, il tripait fort. Tringler une petite nana devant son ex-épouse qui semblait apprécier... Irréel. Florence se leva, puis s’accroupit pour être à la hauteur du visage de Clémence. — Comment tu la trouves sa queue ? susurrait-elle. Sa voix, ce regard ensorcelait la poupée de chiffon. — Je la veux encore plus fort, répondit Clémence entre deux gémissements. L’entendre dire ça l’excita de plus belle et il redoubla de vigueur pour la faire crier. Florence approcha sa bouche de celle de la jeune fille. Cette dernière ouvrit grand pour accueillir la langue avide. Les langues s’enroulèrent salement. Les souffles se firent courts. Leurs lèvres se quittèrent pour une infime seconde, le temps que Florence retire son top. Elle fit sauter l’attache de son soutien-gorge dans la foulée et se retrouva à demi-nue la seconde suivante. Il n’allait pas tenir bien longtemps. Les voir faire leurs petites affaires le rendait fou. Surtout la voir elle, son ancienne moitié, se dévergonder de la sorte. Il ne l’avait jamais vue avec une autre femme. Il se serait bien redressé mais il ne voulait pas perturber ce qui était en train de se passer. Florence vint caresser le bout de son sein contre celui de Clémence, avec un large sourire. — T’aimes ça ? lui demanda-t-elle. Clémence non plus n’avait jamais vraiment fait ça avec une femme. Elle trouva sa peau si douce. Elle répondit oui d’un hochement de tête. La main de Florence finit par faire son chemin entre les cuisses de l’autre qui la regarda d’un air surpris mais qui la laissa faire. Elle se mit à la caresser vigoureusement. — Lèche-moi les seins, proposa Florence en les approchant de la bouche de la jeune fille. Dans la décadence de l’instant elle prit volontiers son téton à pleine bouche. Il vit son ex-épouse basculer la tête en arrière de plaisir. — Hmm... T’as envie qu’il vienne en toi ? — Oh... Oui… — Ça te fait quoi de te faire prendre comme ça ? Ça te fait quoi de sentir mes doigts dans ta fente ? — Rah putain ! s’exclama-t-il d’en dessous. Il accéléra la cadence et elle sut qu’il serait bientôt à bout. — Viens, lui dit-elle, jouis sur sa queue, dans ma main, maintenant ! Elle accéléra les mouvements de sa main sur son clitoris. "Ça te fait quoi de te faire prendre comme ça ?" passait en boucle dans la tête de Clémence. Les sentir tous les deux, l’un devant et l’autre derrière, s’occuper d’elle pour la faire venir fit monter la chaleur à ses joues. Leurs mouvements étaient si synchros, si réguliers que le tiraillement familier au creux de son ventre arriva vite et s’intensifia rapidement en plusieurs spasmes puissants. — Oh oui… Oui… Ouiiii ! Elle était partie. Son corps ne répondait plus. Ses jambes se raidirent, ses hanches remuaient sans son contrôle. Elle les laissait faire, elle n’était plus là. Ils continuèrent leurs mouvements jusqu’à l’épuiser complètement. L'entendre gueuler le fit partir. Il lui donna tout, se lachant en elle alors même qu’elle était encore perdue sur son nuage. Le corps repu, exténuée par leurs caresses, Clémence soupira et le silence revint doucement dans la pièce. — J'aimerais bien que vous vous embrassiez, dit Florence. Clémence se retourna alors et, corps contre corps, ouvrit grand la bouche pour qu’il y fourre sa langue. Il trouva sa bouche si délicate, si douce qu’il décida de l’embrasser un peu mieux, plus décemment, en encerclant son visage entre ses mains. Il y avait presque de l’amour dans ce baiser. Florence le remarqua, et décida de se joindre à eux. Leurs langues s’entrelaçèrent sensuellement, comme pour se remercier les uns les autres de cette expérience un peu folle et pour revenir sur Terre dans le calme. Une fois tous les habits remis, ils convinrent de ne jamais reparler de ce qui venait de se passer, de faire comme si tout ça n’avait pas eu lieu, de commencer le contrat pour leur fils comme convenu. Et les cours de soutien commencèrent comme prévu, deux fois par semaine. À la fin de la deuxième semaine, n'y résistant plus, ils décidèrent de remettre le couvert… © Tous droits réservés - Charlie M.P. – 13/07/2022 |